Archives de tags | plein air

Des crampons pour profiter de la marche en hiver

Article publié sur le site avenues.ca le 15 décembre 2016

EN VILLE COMME EN RANDONNÉE, LES CRAMPONS S’AVÈRENT DE PLUS EN PLUS UTILES POUR NE PAS FAIRE DE MAUVAISES CHUTES. MAIS LESQUELS CHOISIR? 

La variété de crampons est impressionnante et, autant vous le dire tout de suite, il n’y en a aucun de parfait pour satisfaire aux exigences de la marche urbaine, de la course ou de la randonnée en montagne. Avec les conseils éclairés de Maxime Gauthier, responsable plancher chez Mountain Equipment Coop, à Longueuil, je vous présente ici les avantages et inconvénients de différents modèles.

CONSEILS DE BASE

En premier lieu, il faut veiller à un bon ajustement des crampons. Vendus dans des tailles de XS à large, on les choisit en fonction de la taille de nos bottes d’hiver ou de nos souliers de course. Trop lâches, on risque de les perdre facilement, trop serrés, d’avoir froid aux pieds.

Ensuite, on identifie nos besoins: «seulement» pour la ville, la course ou la rando? Ou une version plus polyvalente? Dans ce cas, Maxime suggère d’appliquer la règle du 80%-20% pour orienter votre choix: 80% de l’utilisation envisagée, par exemple pour la randonnée; 20% pour la course. Ou inversement.

Le prix est très variable, avec des qualités de composants (crampons, harnais de caoutchouc) qui le sont aussi. Le plus important est de regarder la surface de contact couverte par les crampons, qui donnera une bonne idée de l’adhérence future sur la glace…

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Blogue Ulysse : Je grouille à la pêche

Article paru sur mon blogue Grouille pour pas qu’ça rouille le 10 juin 2016

A moins de jouer de la mouche les deux pieds et même la moitié du corps immergé dans une rivière, la pêche n’est pas à proprement parler une activité de plein air très « grouillante ». Mais comme le mois de juin est bon pour titiller le poisson et que les jours sont les plus longs de l’année, pourquoi ne pas essayer le « prêt-à-pêcher » offert dans plusieurs réserves fauniques gérées par la SEPAQ ? On est dehors, il fait beau et il y a toujours de belles randonnées à faire à pied ou en vélo aux alentours.

Direction : la réserve faunique Papineau-Labelle, à cheval sur l’Outaouais et les Laurentides. Rendez-vous au poste d’accueil Mulet pour récupérer permis de pêche, droits d’accès à la pêche, cannes à pêche, coffres à pêche, leurres à pêche… Le forfait « prêt-à-pêcher » donne aussi droit à un beau chalet en bois rond au lac Kennedy, en plein cœur de la réserve.

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Avenues : La Côte-Nord en 10 arrêts

27 juillet 2016 – article publié sur avenues.ca

CE N’EST PAS PARCE QU’ON FAIT UN ROADTRIP EN VOITURE SUR LA CÔTE-NORD QU’ON NE PEUT PAS PROFITER DU PLEIN AIR AUX ARRÊTS. DE TADOUSSAC À BLANC-SABLON, LA ROUTE DES BALEINES SUIVIE PAR LA ROUTE MARITIME DE LA BASSE-CÔTE-NORD OFFRENT DE MULTIPLES OCCASIONS DE RANDONNER, CANOTER, FAIRE DU KAYAK ET OBSERVER LES OISEAUX.
1. DE TADOUSSAC AUX BERGERONNES

Marcher sur la passerelle de bois dominant la baie de Tadoussac nous transporte déjà dans l’univers marin du Saint-Laurent. On peut poursuivre au pied des dunes (surtout à marée basse) puis reprendre l’auto jusqu’aux Bergeronnes. Tout autour du Cap-de-Bon-Désir, on marche des heures sur les belles roches ou on s’assoie pour observer les baleines qui s’approchent souvent de la rive.

2. DE LONGUE-RIVE À PORTNEUF

Place aux oiseaux aux abords du Centre d’interprétation des marais salés, à Longue-Rive, comme sur le banc de sable, à Portneuf-sur-Mer, qui s’arpente sur 8 km aller-retour. Plus tranquille est la balade en canot sur la rivière Portneuf. Il y a tellement de courant qu’on rame surtout pour se diriger, le nez en l’air.

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La rivière Portneuf sur la Côte-Nord.

La rivière Portneuf sur la Côte-Nord.

 

Avenues : 7 lieux magiques pour marcher hors des sentiers battus

30 juin 2016 – article publié sur avenues.ca

POUR LES RANDONNÉES, IL N’Y A PAS QUE LES SENTIERS! PLAGE DE SABLE, ROCHERS, GALETS… VOICI DES SUGGESTIONS DE LIEUX MAGIQUES POUR MARCHER HORS DES SENTIERS BATTUS!
PARC NATIONAL DU BIC

Au Parc national du Bic, dans le Bas-Saint-Laurent, les sentiers en forêt sont rarement loin de l’eau. Ceux du Cap Caribou ou du Cap à l’Orignal longent de jolies anses avant de vous donner vue directe sur le grand fleuve. À marée basse, sortez du parc et filez vers l’est sur la route 132. Juste après le village du Bic, une petite route à gauche mène au golf. On peut facilement marcher sur le sable et les rochers à marée basse jusqu’en face de l’île au Massacre et il n’est pas rare d’y voir quelques phoques se prélasser au soleil sur une roche…

CAP-DE-BON-DÉSIR

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Un détour chez Roger L’Ermite dans Lanaudière

Article paru le 20 juillet 2015 sur canoë.ca

Depuis son ouverture en 2010, le site Chez Roger l’Ermite, à Saint-Côme, dans Lanaudière, n’en finit pas de s’agrandir, sans pour autant y perdre son âme. Un nouvel écogîte et un petit camping viennent désormais compléter l’offre d’hébergement de ce domaine pas comme les autres.

Le nouveau chalet La Rive, très lumineux et doté d’un toit végétal, porte bien son nom. Il est installé tout près de la rivière à Boule, tout comme les emplacements de camping, qui sont vraiment à deux pas pour se mettre à l’eau.

Les quatre autres écogîtes de Chez Roger l’Ermite sont disséminés dans la forêt à flanc de colline. Pas un qui ne se ressemble sauf qu’ils sont tous rustiques à souhait, fabriqués en bois coupé sur place, sans eau courante, avec toilettes au compost et énergie solaire. L’intérieur est néanmoins confortable et décoré avec beaucoup de goût et d’originalité par Martin Paradis, le maître des lieux.

C’est pour partager sa passion du bois et permettre aux visiteurs de se ressourcer dans la nature que Martin a conçu son projet. «Jeune, dit-il, je vivais en forêt, je grimpais aux arbres et y construisais des cabanes. Après avoir travaillé dans un bureau, j’ai eu envie de revenir aux sources. Je suis devenu arboriculteur et j’ai commencé à récupérer de beaux troncs d’arbres, puis à en faire des planches. L’idée de construire ces maisonnettes rustiques et de proposer ainsi un hébergement alternatif est ensuite venue naturellement.»

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Les Iles du Pot à l’Eau-de-vie sur le fleuve

Le Sauvagîles fend l’eau et ses vagues quand le phare, tout habillé de rouge, se découvre à l’horizon, grossit et grossit jusqu’à l’approche finale. On débarque sur un long quai de bois qui grimpe sur les rochers de la petite île escarpée. Les visiteurs d’un jour partiront bientôt et l’île du Pot-du-Phare sera alors toute à nous! C’est la seule île accessible de l’archipel du Pot à l’Eau-de-Vie. 

Géré par la Société Duvetnor, l’archipel (qui doit son nom à son utilisation discrète au temps de la prohibition) est une des merveilles du Saint-Laurent, un site de rêve pour une nuit de rêve… Occupé à partir de 1861, et laissé à l’abandon en 1975, cet endroit a été brillamment restauré et réaménagé par Duvetnor. Autour du phare pimpant, la maison du gardien est unique en son genre. Trois chambres décorées à l’ancienne y accueillent désormais ceux qui ont réservé pour la nuit. On y dort comme dans un musée! Le forfait comprend un souper de fine cuisine régionale servi dans la salle à manger de l’ancien gardien. Ne traînez pas à table, car le coucher de soleil n’attend pas… On en profite sur la terrasse, assis sur des chaises Adirondacks, en solitaire sur un rocher ou du haut du phare.

Au matin, on prend le temps d’admirer à la jumelle les voiliers et vraquiers qui passent au loin, ou les oiseaux, nombreux sur le petit bout de terre. L’île du Pot-du-Phare est notamment une vraie «crèche» à eiders, où la Société Duvetnor récolte le duvet dans les nids à la fin de la période d’incubation. Une occasion de faire le suivi biologique de l’espèce

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Faites du camping en ville

ARTICLE PUBLIÉ SUR LE SITE DE canoe.ca | voyages

Un nouveau camping s’apprête à voir le jour au parc national des Îles-de-Boucherville. Le site sera opérationnel le 17 juillet 2015, mais les réservations sont ouvertes depuis le 22 mai. N’attendez pas si vous voulez vous échapper de Montréal et goûter aux plaisirs du camping sans vous éloigner.

L’île Grosbois, où le nouveau site est implanté, est l’une des plus sauvages du petit archipel, situé au milieu du Saint-Laurent, à l’est de Montréal. Malgré la proximité de la ville, le dépaysement est garanti, d’autant que le camping n’est pas accessible en voiture, mais seulement à pied, en vélo, canot, kayak ou chaloupe. Pour faire le trajet de trois kilomètres depuis l’île Sainte-Marguerite, avec passage de rivière sur un bac à câble, l’idéal est de partir avec un chariot (gratuit) ou de faire transporter ses bagages jusqu’au camping. Le parc offre aussi en location embarcations et vélos.

Sur place, on monte sa tente sur l’un des 54 emplacements sans services ou on s’installe dans l’une des 21 tentes Huttopia. Un dépanneur et des installations sanitaires complètes sont sur le site. Adossé à un boisé, le camping est tourné vers le Vieux-Boucherville tandis que l’autre côté de l’île a vue sur les marais.

L’île Grosbois mérite le déplacement. Au nord du parc, ceinturée par un sentier de sept kilomètres, elle est bucolique à souhait. On passe allègrement de champs de maïs à des zones d’herbages où la faune trouve refuge. Il y a de grandes chances d’y voir des cerfs de Virginie et une multitude d’oiseaux.

«Ce qui est bien, a souligné Rémi Chapados, responsable du service à la clientèle du parc, c’est qu’on est toujours à proximité de l’eau et les haltes nautiques offrent de beaux points de vue, avec aires de pique-nique à l’ombre de grands saules.»

En canot ou kayak, le chenal du Courant est un haut lieu d’observation d’oiseaux et, en vélo, le parc a une bonne vingtaine de kilomètres de pistes. Parfait pour se dégourdir les jambes.

Bon plan: les activités de découverte sont gratuites jusqu’à 17 ans, avec accompagnement d’un parent. Prêt pour un safari au crépuscule, une «chasse» au castor, la découverte d’un marais prolifique ou une remontée dans l’histoire de l’île Grosbois qui abrite un site archéologique amérindien?

Infos et réservations : www.parcquebec.com; 1 800 665-6527

Un petit tour au parc du mont-Tremblant

Par une magnifique journée hivernale, bien froide, je suis allée re-découvrir la piste de ski de fond Le Malard dont une portion a été réouverte cette année, à la demande générale…
Ce n’est pas le genre de piste qui me fait frémir de plaisir: un peu trop large, un peu trop prévisible, pas assez… hors-piste à mon goût.

Mais, la longueur de la balade en a fait un très bon exercice et la longue descente finale de La Malard en fin de parcours m’a tout de même bien plu.

On débute du beau Centre de découverte au lac Monroe par une portion plutôt plate en bordure du petit lac Monroe, puis jusqu’au refuge Le Ravage. Ensuite commence une longue montée sur La Ouache en forêt et qui n’offre guère d’intérêt jusqu’à atteindre u peu de hauteur. Là, quand les arbres sont chargés de neige, surtout aux alentours du refuge La Ouache, la forêt est bien jolie et les montagnes bien visibles autour. Passé le refuge, la grimpette est presque finie et on se laisse aller dans la pente sans trop d’inquiétude vu la largeur de la piste damée. On avale alors les kilomètres pour rejoindre l’intersection avec une piste verte qui ramène vers le lac Monroe, avec 19 kilomètres au compteur.

Les plus : le refuge La Ouache pour le lunch; la descente qui suit; le coup d’oeil sur les chalets EXP si l’on n’y dort pas; le superbe centre de découverte.
Les moins : le manque de variation dans la piste; le manque de points-de-vue.

Week-end de rêve au Massif du Sud

Dans les sous-boisAprès une bonne tempête de neige, rien de tel qu’un week-end de ski pour en profiter. En route pour une série d’articles « duos ski alpin-ski de fond », j’ai opté récemment pour la station touristique Massif du Sud, dans Chaudière-Appalaches.

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Du bas des pistes de ski alpin, on ne voit qu’une partie de ce qu’elle offre car, passé un bon surplomb, le remonte-pentes poursuit son chemin sur un plateau en déclinaison plus légère. Quel terrain de   jeu ! Nous le découvrons en compagnie d’un guide de la station: pistes vertes tirant plutôt sur le bleu, bleues vraiment bleues, qui démarrent généralement en douceur pour attaquer ensuite le dénivelé de « front » sur des pistes larges, peu glacées et avec quelques beaux passages en neige fraîche. Au total, 400 mètres de descente! J’ai particulièrement aimé l’expérience en sous-bois, ma première, sur une partie facile de la nouvelle piste « bipolaire ». La station est d’ailleurs réputée pour ses sous-bois.
Ma leçon de ski en sous-bois, donnée par le guide: « regarde entre les arbres, pas les arbres ».

Le lendemain, après une bonne nuit en chalet, on remonte au sommet en ski de fond ! Le sentier du Mont-du-Midi démarre dans un décor féérique, sur une crête battue par les vents qui ont transformé les arbres enneigés en vrais fantômes de glace. La piste large et bien tracée court sur la crête avant de dévaler tranquillement la pente, passant près d’un secteur d’éoliennes, puis rejoignant un premier refuge (Le Versant). La descente se poursuit jusqu’au refuge du Milieu puis la piste passe en lisière du mont Chocolat. On peut rejoindre alors le poste d’accueil du parc régional du Massif du Sud ou poursuivre le long de la rivière des Mornes, en légère montée, jusqu’au pied des pistes de ski alpin.

Les plus: les pistes en sous-bois; la vue sur les montagnes alentour; la yourte du sommet (à louer); le relais chauffé du sommet; la beauté de la crête en ski de fond; la qualité de la nourriture à la cafétéria; les chalets près du bas des pistes.
Les moins: la lenteur du remonte-pentes.

Station de ski: http://www.massifdusud.net
Hébergement Massif du Sud: http://www.massifdusud.net
Parc régional: http://www.massifdusud.com

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