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Tremblant gourmand pour «foodies» actifs

Texte publié sur le Huffington Post Québec le 14 septembre 2015

Manger, boire, bouger? Pourquoi choisir quand on peut lier activités physiques (plus ou moins modérées) et expériences épicuriennes? La deuxième édition de l’événement Tremblant Gourmand bat son plein depuis samedi dernier dans la station des Laurentides et le beau temps chaud attendu pour cette semaine devrait inciter tous ceux qui le peuvent à faire l’école buissonnière pour y participer… Aux autres, on suggère de ne pas rater l’apothéose des réjouissances, le week-end des 19 et 20 septembre.

Pour profiter de la plupart des activités, ainsi que de rabais dans les boutiques et restaurants du village piétonnier, le mieux est d’opter pour un «passeport», vendu au coût de 30 dollars.

 ON MANGE!

Les «foodies» sont gâtés : la Foire des artisans les accueille le week-end au bas du village, sur la place des Voyageurs, avec des kiosques de dégustations variées: pains, produits à l’érable, champignons sauvages… La Place Saint-Bernard, en haut du village, est toutefois le centre névralgique du festival, en semaine comme le week-end. On navigue ici aussi de kiosque en kiosque pour goûter un morceau de La Vlimeuse, tout nouveau fromage à pâte molle et croute lavée de la Fromagerie Mont-Tremblant, une cuillérée de miel grand cru du producteur de Mont-Laurier Miels d’Anicet, un verre de cidre de glace ou quelques bières de microbrasseries.

Les restaurateurs du village ne sont pas en reste. Tous affichent des rabais sur leurs menus, certains plats ou boissons, pour les possesseurs du passeport Tremblant gourmand.

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Les sentiers secrets des orphelins dans les Laurentides

C’est le printemps, le beau temps s’en vient. Vous avez envie de nouveaux sentiers. Je vous invite à découvrir le réseau des Sentiers des Orphelins sur lequel j’ai écrit un article, publié sous l’onglet Voyages du site canoë.ca. 

Que ce soit à pied ou à vélo, on pourra dans les semaines à venir enfin profiter de la nature printanière. Voici un beau circuit des Laurentides – et un secret encore bien gardé – à découvrir gratuitement, celui des sentiers des Orphelins.

Pour s’y rendre, il faut filer plein ouest depuis l’autoroute 15 à la hauteur de Saint-Sauveur pour rejoindre Morin-Heights. Ceux qui connaissent le parc Corridor aérobique, ancienne voie de chemin de fer reliant Morin-Heights à Amherst, n’auront pas à chercher longtemps. Le Réseau de sentiers des Orphelins, récemment aménagé par la municipalité de Wentworth-Nord, est en quelque sorte une excroissance de cette piste, transformée en piste de ski de fond l’hiver et de vélo le reste de l’année. On en part et on y revient pour compléter une belle boucle de 11 km, à faire à pied, en vélo de montagne ou vélo hybride. Au programme: des arbres, des tapis de mousse, de l’eau et un exercice sportif relativement modéré.

HOMMAGE ET PAYSAGES

Le nom du réseau rend hommage à des milliers de jeunes Montréalais qui ont résidé à l’Orphelinat agricole Notre-Dame-de-Montfort en apprenant un métier au tournant du 19e siècle. Et comme il est aménagé sur des «terrains orphelins», finalement acquis par la municipalité locale en 2009, il porte doublement bien son nom.

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Les cyclistes bienvenus dans les parcs québécois

La SÉPAQ annonce avoir signé un protocole d’entente avec Vélo Québec pour obtenir l’attestation Bienvenue Cyclistes ! En échange, les parcs, centres touristiques et réserves du Québec sous gestion de la Sépaq vont offrir aux voyageurs se déplaçant uniquement à bicyclette des emplacements de camping sans réservation. Premier arrivé, premier servi toutefois !

Une bonne nouvelle pour les cyclotouristes.

www.sepaq.com/bienvenuecyclistes

Du Velib au Bixi en passant par le VCUB

De retour de France, je retrouve mon vieux vélo pour me déplacer dans Montréal, avec de très bons souvenirs de mes nouvelles découvertes: le Velib’ parisien qui m’a permis de bouder le métro et re-visiter Paris autrement qu’à pied; le VCUB de Bordeaux utilisé en complément au tramway pour aller plus loin que le centre-ville ou pour changer… et profiter à plein des jolis quais sur Garonne de cette ville qui s’ouvre de nouveau à plein sur son fleuve.

Et pour finir, j’ai découvert trois Bixis trônant pour attirer le touriste dans le hall de reprise des bagages à l’aéroport de Montréal. De quoi rester dans la note !

Dorval-Bixi

Paris en Vélib’

Velib2

ParisVelib

Il fait frais sur Paris depuis trois jours que j’y suis pendant que Montréal est en beau printemps fleuri et chaud ! En reportage pour Le Soleil, je profite de mes temps libres pour arpenter Paris… Ayant attrapé la piqûre du vélo en janvier dernier, lors d’une visite guidée en vélo électrique, je me suis décidée à tester le Vélib’. Avec ses bons et ses mauvais côtés, surtout en comparaison avec le Bixi montréalais….

La première étape a été laborieuse: comprendre le cheminement permettant d’atteindre la « sortie » d’un vélo a pris l’assistance de mon ami Normand, doublée de celle d’une gentille cycliste. Il faut valider 36 fois divers choix proposés à l’écran, obtenir un numéro d’abonné, le taper encore, puis choisir un numéro de vélo, puis courir au vélo, appuyer sur un bouton et tirer le vélo de son ancrage ce qui requiert une certaine force… Puis le vélo n’est pas toujours en bon état: pneu crevé, selle qui descend sans arrêt, pédalier défectueux…

Me voilà bien en selle le 8 mai – jour férié – pour remonter des bords de Seine vers le Trocadéro et la rue de Passy. Le lendemain, j’y  prends goût en sortant du Monde où j’étais allée dire bonjour à tous mes chefs de service. Je file sur mon vélo sur de larges boulevards, une microscopique piste cyclable, une voie autobus-vélo… jusqu’à Montparnasse. En route, la selle de mon vélo se baisse au maximum et ne tient pas remontée malgré mes tentatives. Je finis donc le trajet en petit bonhomme !

Pour ne pas payer plus que l’abonnement 24 h – 1,70 euro – il faut larguer le vélo avant 30 minutes… mais la station repérée est pleine de vélos ! Je cherche pendant 10 minutes une autre station et elle ne sont pas faciles à trouver autour de Montparnasse. Pour retrouver un magasin, je descends la rue de Rennes jusqu’à la Seine pour la remonter ensuite complètement jusqu’à la gare de train où je dois acheter un billet pour Bordeaux… Un peu d’exercice physique ne me fait pas de mal.

Ce matin, départ en taxi aux aurores pour participer à une visite guidée du marché de Rungis. De retour à Denfert-Rochereau à 9h30, je repère une station de velib’ et me voilà repartie sur la trotte, en direction du Centre culturel canadien, rue de Constantine, où je suis attendue pour une visite d’expo d’art inuit… J’enfourche le vélo pour m’apercevoir que le pédalier est en piteux état… mais pas le temps d’en changer. Je ferai le trajet avec un bruit persistant et un pédalage aléatoire…

L’entretien de ces vélos parisiens laisse vraiment à désirer mais malgré les désagréments l’expérience velib’ en ces jours de « ponts » où la circulation auto est minimale me plait tout de même beaucoup. Une autre façon de découvrir Paris le nez en l’air !

La Gaspésie sur deux roues

C’est dans la joie et la bonne humeur qui semblent si communicatives dès qu’on met un pied en Gaspésie que s’ouvrira à n’en pas douter le 6 juillet la « grande traversée de la Gaspésie à vélo », version estivale de la « TDLG » hivernale, à ski de fond, que j’ai eu le plaisir de suivre en 2012.

Séjour sportif mais aussi très social et culturel, la TDLG à vélo en est à sa deuxième édition. Le parcours de 434 kilomètres, d’Amqui à Gaspé, empruntera la verdoyante vallée de Matapédia avant de longer la Baie des chaleurs, puis de remonter vers Percé et Gaspé, le tout en six jours, avec beach party assurée.  Il y en a pour tous les niveaux de cyclistes et la voiture-balai joue son rôle à la demande !

« Rouler vers le pur plaisir », est la devise de l’événement qui invite à pédaler à son rythme en admirant le paysage, à faire quelques visites en chemin et surtout à profiter de l’accueil légendaire des Gaspésiens !

Hier à Montréal, les porte-paroles Emmanuel Bilodeau et Édith Cochrane, comme la comédienne Sophie Faucher,  ne tarissaient pas d’éloges sur l’organisation hors-pair de la TDLG à vélo, le fun qu’on y a, la sécurité bien assurée et le stress qu’on laisse loin derrière soi !

On attend cent inscriptions. Les forfaits tout inclus pour 7 jours varient de 1000$ en camping à 2500 $ en chambre individuelle, en passant par le dortoir et les chambres à 2 ou 4.

www.tdlg.qc.ca

Du vélo pour la « belle » saison au Québec

La région de Drummondville est de triste mémoire pour moi, dont la voiture fut incendiée et abandonnée pour perte totale il y a quelques années dans cette ville du Centre-du-Québec, le tout pendant un voyage de presse de deux jours à bicyclette…

Comme je ne suis pas rancunière, il me fait tout de même plaisir d’annoncer une nouveauté vélo dans cette région déjà riche en pistes cyclables et forfaits vélo! L’Association touristique régionale et le Club Plein Air 5 Saisons de Drummondville offrent ainsi en juillet deux nouveaux forfaits « Vélotour » permettant aux cyclistes de suivre un itinéraire de 350 kilomètres en quatre jours, avec autant de nuitées dans des hôtels 4 étoiles certifiés « Bienvenue cyclistes », avec petits déjeuners et soupers inclus. Le séjour clé en mains comprend les services d’un guide, le transport des bagages et les collations ! Ceux qui préfèrent faire du vélo sans guide ou à d’autres dates (de mai à octobre) peuvent opter pour le « Circuit vélo régional ».

Les cartes cyclotouristiques de la région sont disponibles sur le site http://www.avelo.ca ou sur le site mobile m.tcdq.com.

 

L’été des indiens à bicyclette

C’était fin octobre, un superbe vendredi ensoleillé, une journée fraîche le matin mais avec 18 degrés sur l’heure de midi ! J’avais pris la clé des champs avec une amie pour aller faire du vélo près de Lévis afin de compléter un sujet d’article pour Géo Plein Air. Direction : le parc de la Martinière, à l’est de Lévis, pour embarquer sur les vélos, avec la responsable médias de l’Association touristique régionale.

Après un petit parcours sur route (6,5 km) grimpant dans une zone résidentielle puis sur les coteaux, on rejoint la piste Harlaka qui file à même une ancienne voie ferrée à travers champs de blé et petits boisés jusqu’à Saint-Henri. 7,8 km bucoliques. Nous prenons le temps en chemin de regarder passer de grands voiliers d’oies blanches en migration vers le sud avant de faire demi-tour. Retour facile, tellement qu’on aurait bien poursuivi à bicyclette jusqu’à la « traverse » de Lévis…

Juste en face du traversier, le Barbacoa offre un étonnant menu de « vrai de vrai BBQ » du sud des États-Unis… Le proprio y a vécu et en a rapporté de belles idées. Il fume au bois d’érable bœuf Angus, côtes levées, poulet ou épaule de porc qu’il sert avec un choix de salades originales et des sauces BBQ de sa composition… On peut repartir avec des plats pour la maison ! Une bonne adresse pour manger sur le pouce, avec une limonade-maison ou une bière-pression.

Cartes et parcours vélo : http://www.chaudiereappalaches.com/velo

Restaurant Barbacoa : www.barbacoabbq.com

On n’arrête pas le progrès

Pour faire peur aux voleurs de bicyclette, pourquoi ne pas utiliser un antivol avec alarme ? Pour une vingtaine d’euros, le Français LeCyclo.com propose un câble antivol avec alarme qui risque fort de les contrarier. La dissuasion par le bruit semble la meilleure arme du cycliste, avec une puissance de son pouvant aller jusqu’à 120 décibels, soit celui d’un avion à réaction au décollage, dit la pub. Pas sûr que les voisins vont aimer !!! Y a-t-il un produit similaire vendu au Québec ? http://www.lecyclo.com

Un Tour (différent) la nuit

Cyclothon 2011

L’Association de loisirs pour personnes à autonomie réduite (ALPAR) participe de façon originale au « Tour la nuit » qui aura lieu le 1er juin en vélo dans les rues de Montréal. Pour la quatrième année,  elle organise à cette occasion un événement bénéfice au profit des aînés à mobilité réduite.

Le Cyclothon mettra 38 bénévoles à l’œuvre du pédalage solidaire… Trois personnes en fauteuil roulant participent avec eux au « Tour la Nuit ». Elles sont installées sur des plates-formes de la compagnie de transport à vélo Déménagement Myette. L’an passé, l’organisme avait recueilli près de 7700 dollars.

Tél. :514 524-7328